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Que se passe-t-il durant la fermeture ?

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Posté le 22 février 2024

Le Centre Sir John Monash a récemment fermé ses portes au public pour sa maintenance annuelle. Il s’agit d’une période importante dans la vie du Centre, car elle permet de garantir aux visiteurs la meilleure expérience possible pour l’année à venir. Voici un aperçu de ce qui s’est passé derrière les grandes portes en bois du Centre pendant cette période.

Il s’est passé beaucoup de choses pendant les deux semaines de fermeture ! Un grand nombre de spécialistes et de prestataires parmi lesquels plombiers, agents d’entretien, chauffagistes et même vitriers, qui ont pu travailler librement sur l’ensemble du site. Ils ont assuré l’entretien des équipements, dont le système géothermique de chauffage, de ventilation et de climatisation, le nettoyage des objets, ou encore la réparation des écrans et des installations.

Leur travail dans les coulisses est crucial pour le bon fonctionnement du Centre Sir John Monash.

Le remplacement de l'un des écrans du sol du mur tactique.
Le remplacement de l'un des écrans du sol du mur tactique.
Le foyer du SJMC pendant la fermeture pour maintenance.
Pendant la maintenance, le foyer, habituellement animé de visiteurs, est rempli d'outils techniques, d'appareils et de mobilier en tout genre.

Cette année, l’un des plus gros défis fut le remplacement des écrans de sol qui affichent une carte interactive des batailles, élément majeur de l’exposition du Centre. Ces écrans, protégés par cinq plaques de verre de plus de 300 kg chacune, a nécessité l’intervention de personnel compétent, ainsi que d’une grue et plus de 650 kg de contrepoids !

 

La fermeture était également l’occasion pour l’équipe de suivre des formations et de planifier l’année à venir.

 

 

Pour en savoir plus sur l’engagement de la Nouvelle-Zélande dans la Première Guerre mondiale, l’équipe en a aussi profité pour visiter le Musée néo-zélandais de la Libération – Te Arawhata, situé au Quesnoy, dans le Nord, et a découvert l’incroyable histoire de la libération de la ville fortifiée par la division néo-zélandaise le 4 novembre 1918.

L'équipe du SJMC et le directeur du musée neozélandais de la Libération - Te Arawhata à côté du « Géant ».
L'équipe du SJMC et le directeur du musée neozélandais de la Libération - Te Arawhata à côté du « Géant », une statue d’un soldat neozélandais, et l’une des pièces maîtresses de l'exposition du musée.

Le Centre a rouvert ses portes depuis le 10 février, et nous nous réjouissons de vous accueillir à nouveau. Réservez dès à présent votre visite .

 

 

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